VTM a besoin de vous !

Dans le cadre de la préparation du voyage des jeunes à Madagascar l’an prochain, le groupe Andao de VERN TIERS MONDE a décroché une grosse commande de confiture pour le mois d’octobre.
Les jeunes sont donc à la recherche de bocaux, genre bonne maman ou autre, d’une contenance d’à peu près 350 g ou un peu plus. Il leur en faut 600 !
Alors ils remercient à l’avance les adhérents de VERN TIERS MONDE et tous les sympathisants internautes qui pourront leur en fournir. Ils ont également besoin de fruits.
Contact : Elizabeth

confiture

 

Tana : vendeurs ambulants écartés du centre ville

A Madagascar, ce lundi, environ 2 000 vendeurs ambulants doivent être déplacés du centre-ville d’Antananarivo. En cause, selon les autorités de la ville, les embouteillages monstres qu’ils provoquent en s’installant sur la chaussée. Ces vendeurs ambulants sont pour la plupart des victimes de la crise économique qui plombe le pays depuis 2009, des anciens employés des zones franches qui travaillaient dans des usines textiles ou bien des migrants ruraux qui fuient la pauvreté.

vendeurs_Ambulants

François Ranaivoson, directeur technique à la mairie d’Antananarivo, espère que les vendeurs ambulants vont se montrer « coopératifs ». Il explique que l’idée, c’est de déplacer ces 2 000 vendeurs informels, dans une rue parallèle aux grands axes du centre-ville. Pour cela, la commune urbaine aurait distribué 2 000 étals aux vendeurs, et leur aurait donné à chacun un emplacement. Cette rue dans laquelle tous ces vendeurs doivent être déplacés deviendra une rue piétonne.

La présence de ces vendeurs ambulants dans la capitale malgache est un signe du chômage massif qui frappe la population. Les autorités espèrent que la réintégration de Madagascar dans l’AGOA, l’accord de libre-échange avec les Etats-Unis, rouvrira des zones franches et donnera du travail à cette main-d’œuvre informelle.

En attendant, la capitale poursuit sa politique d’expulsion dans les rues, des prostituées mineures, des vendeurs d’alcool, et aujourd’hui, des vendeurs de tout et de rien ; vêtements, jouets, fripes, etc. Depuis quelques semaines, les rues d’Antananarivo sont parsemées d’affiches aux couleurs de la commune qui proclament « endrika vaovao », littéralement « nouveau visage ».

Source : Radio France International

Flambée de l’immobilier à Madagascar

A Madagascar, les projets immobiliers se multiplient. Après cinq ans de transition et de mise au ban de la communauté internationale, l’économie du pays est encore dans une situation difficile. Le nouveau régime compte sur le privé et le retour des investisseurs pour amorcer une reprise, mais il est un secteur qui affiche déjà une relance, c’est le secteur immobilier. Dans la capitale et ses alentours, les projets de construction sont nombreux et les professionnels sont optimistes. Ils visent la classe moyenne supérieure. Certains projets de luxe de grande envergure voient aussi le jour. Ecoutez le reportage à Antananarivo sur RFI.

Cameroun : Le SMS Printer pour sauver 10 000 nouveau-nés

La Fondation MTN et La Fondation Clinton, l’une des organisations les plus actives dans la prévention contre le VIH dans le monde, ont conclu le 18 juin 2014 à Yaoundé, la capitale camerounaise, un partenariat pour aller en croisade contre le diagnostic tardif de l’infection au VIH chez les nouveau-nés, au moyen d’un système dénommé SMS Printer.

Sorte de téléphone portable avec une mini-imprimante incorporée, le SMS Printer sera installé par la Fondation Clinton dans 682 centres de prélèvements disséminés à travers le pays, y compris dans les zones rurales les plus reculées. La Fondation MTN, elle, offrira son réseau, qui couvre 98% du territoire national, ainsi que ses équipements. Tout cet arsenal, apprend-on, permettra de rendre possible la transmission (par SMS) et l’impression instantanées des résultats des tests de dépistage effectués sur les nouveau-nés par les deux laboratoires spécialisés du pays. Bref, le SMS Printer va rendre disponible les résultats le plus rapidement possible, afin de permettre la prise en charge tout aussi rapide des nouveau-nés testés positifs au VIH. Suite…

Mballing, un village de reclassement social

Au Sénégal, la lèpre est toujours considérée comme une maladie à part. A l’origine, les malades de la lèpre étaient traités à l’écart, dans des sites de « reclassement social ». Il en existe neuf dans tout le pays. Des sites qui, aujourd’hui, grâce aux progrès de la médecine, changent de visage : il s’agit désormais plutôt de villages où tout un tas d’activités ont été créées au fil du temps. C’est le cas de Mballing, sur la Petite Côte où résident désormais plus de 5 000 habitants.

Découvrez le reportage de RFI sur ce village. (cliquer sur la photo pour écouter)

 

Tana : une importante ville de garnison

Le 30 septembre 1895 marque la conquête de la Grande île qui voit la colonne volante du général Duchesne, forte de 2500 hommes, occuper Antanana­rivo. Depuis, les effectifs militaires de Madagascar sont généralement modestes.
La période troublée des années 1947-48 amène en 1950 un léger renforcement de ces effectifs qui sont dotés de moyens mécanisés. En même temps, le terrain d’aviation d’Ivato voit le nombre de ses appareils et équipages notablement augmenter.  Parmi les militaires stationnés dans l’île, un pourcentage important vit à Antananarivo qui devient « une importante ville de garnison ». Suite …

la scolarisation à Madagascar

Découvrez aujourd’hui la nouvelle enquête des correspondants de VERN TIERS MONDE Michel et Edmine, à propos de la scolarisation et l’éducation des enfants à Madagascar.

Ecole
Et pour faire suite à ce sujet, voici l’article paru le 13 juin sur http://news.icilome.com :

Madagascar lancera samedi une campagne nationale d’insertion et de réinsertion scolaire et professionnelle des enfants déscolarisés, a-t-on appris vendredi auprès du ministère malgache de l’Education nationale.
La campagne sera officiellement lancée dans la ville de Fianarantsoa, dans le centre-sud de la Grande Ile et des campagnes régionales s’enchaîneront ensuite.
A court terme, 500.000 enfants, adolescents et jeunes déscolarisés ou non scolarisés, âgés de 7 à 15 ans dans chaque région de Madagascar, sont les premiers visés.
Ils devront rejoindre les bancs de l’école pour la prochaine rentrée scolaire 2014-2015, a-t-on indiqué.
Vers la mi-juillet de cette année, les enfants passeront un test de niveau afin de pouvoir les catégoriser. Ils auront des séances de remise à niveau durant les périodes de vacances avant de pouvoir être finalement insérés ou réinsérés à l’école ou dans des centres de formations professionnelles adéquates lors de la prochaine rentrée scolaire, a-t-on indiqué.
Ce programme, mené en collaboration avec les partenaires techniques et financiers, dont l’UNICEF, l’UNESCO et la Norvège, s’ étale jusqu’en 2018 et ciblera près de 2,5 millions d’enfants malgaches, soit 500.000 enfants par an.

Education numérique : une chance pour le tiers-monde ?

Le programme Education numérique sera mis en place auprès de 30 établissements scolaires publics dans les 22 régions de Madagascar, suivant un protocole d’ accord signé mercredi entre le ministre malgache de l’Education nationale malgache, Paul Rabary, et la présidente de l’association humanitaire d’Orange Solidarité Madagascar, Josie Randriambeloma.

Le choix des 30 écoles pilotes malgaches a été validé par le ministère de tutelle, qui apporte également son soutien dans la démarche en vue de l’obtention d’exemption du paiement des droits et taxes douaniers, mais aussi la proposition de contenus en lien avec le programme scolaire officiel à Madagascar, a-t-on précisé.

L’objectif du programme est de faciliter l’imprégnation du programme éducatif en ajoutant des contenus numériques dans les classes primaires et secondaires, à travers une méthode ludique tout en étant efficace par les technologies de l’information et de la communication (TIC), afin de permettre aux élèves d’enregistrer de meilleurs résultats, a-t-on mentionné.

Aux côtés de quatre autres pays, à savoir le Cameroun, le Niger, la Tunisie et le Sénégal, Madagascar est l’un des pays pilote de ce programme ambitieux lancé cette année par la Fondation Orange.

Source : Afriquinfos.com

Cameroun : 6000 réfugiés chaque semaine

6000 Nigérians fuyant Boko Haram arrivent chaque semaine au Cameroun

Ce sont les chiffres présentés par le ministère de l’Administration territoriale et de la Décentralisation

Le ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation (Minatd), René Emmanuel Sadi, a fait le point sur la situation des réfugiés au Cameroun ce 13 juin dans la presse publique. Ceci, trois mois jour pour jour après la création par décret présidentiel du Comité interministériel ad hoc chargé de la gestion des situations d’urgence concernant les réfugiés au Cameroun.
Selon le Minatd, qui assure la présidence de ce comité interministériel, l’action menée par l’armée nigériane contre Boko Haram entraîne l’arrivée, chaque semaine, de près de 6000 Nigérians au Cameroun. « Le pays enregistre sur les deux fronts près de 6000 nouveaux arrivants chaque semaine à travers à travers près d’une trentaine de points d’entrée à nos frontières. Seules les régions de l’Ouest et du Sud sont jusqu’ici épargnées par cette situation d’urgence », affirme René Emmanuel Sadi. Le Minatd indique en outre que 2570 autres réfugiés nigérians sont recensés sur le site de recasement de Minawaou dans le département du Mayo Tsanaga, région de l’Extrême-Nord. Suite…

refugies

La vanille : une aubaine pour Mada ?

Madagascar passera-t-il à côté de sa campagne de commercialisation de vanille en dépit d’une production qui, selon certains analystes, sera exceptionnelle? D’après L’Express de Madagascar, le choix de la date d’ouverture de la campagne, qui a été fixée au 1er juillet, risque de se révéler préjudiciable aux agriculteurs dont la production se détériore, parce que n’ayant pas encore été récoltée. «Mes gousses de vanille sont arrivées à maturité depuis au moins deux semaines et je constate avec inquiétude que la quantité qui se détériore sur place, augmente de jour en jour. Je ne comprends pas pourquoi l’Etat a choisi cette date.» indique Flav, un producteur de la commune de Bemanevika.

Un avis partagé par un expert qui a requis l’anonymat. «Dans la situation actuelle, la date du 1er juillet correspond davantage à l’ouverture de la campagne à Andapa où la floraison n’a commencé qu’au mois d’octobre. Cette date ne peut donc pas être généralisée à l’échelle nationale » explique-t-il.

vanille

Selon le quotidien malgache, la production est déjà arrivée à maturité dans la zone SAVA, (Sambava, Antalaha, Vohémar, Andapa), qui représente l’un des principaux bassins de production du pays. Aussi l’actuelle date de lancement de la campagne, accroît-elle leur vulnérabilité face aux spéculateurs qui achètent à bas prix et de façon illégale leur production.

D’après les analystes,  la hausse actuelle des cours de la vanille naturelle devrait profiter à Madagascar qui détient 80% de la production mondiale.

Source : Agence Ecofin

Madagascar sur RFI

Emission spéciale Madagascar dans «C’est pas du vent !»

Pour la première fois deux journalistes de RFI, Anne-Cécile Bras et Arnaud Jouve, sont partis sur le terrain avec deux journalistes malgaches pour réaliser des reportages sur la protection de l’environnement au sein de communautés reculées.

Cette opération exceptionnelle qui s’est déroulée du 5 au 17 mai est l’aboutissement d’un programme de formation et de sensibilisation des radios malgaches aux enjeux environnementaux qui s’est étalé sur trois ans grâce à un financement de l’Union Européenne. Plus d’une trentaine de journalistes de 13 radios du Nord de la Grande île ont été formés par l’Académie RFI-F24-MCD. A l’issue de cette formation un concours a récompensé six lauréats qui ont chacun reçu du matériel professionnel et deux d’entre eux sont partis en reportage avec les équipes de RFI.

Ecoutez leurs rubriques sur RFI

Mada et la croissance verte

Une nouvelle formule. Avec l’appui de la Banque africaine de développement (BAD), le gouvernement a lancé, hier, un dialogue national sur la croissance verte, à Ankorondrano. Un atelier dont le principal objectif annoncé est l’élaboration d’une feuille de route qui devra définir les actions à entreprendre « à moyen terme » pour que Madagascar s’engage dans une « croissance plus verte » et durable.
« (…) Nous souhaitons qu’un projet de feuille de route soit présenté par les participants, projet qui définira les actions à entreprendre pour s’engager sur la voie d’une croissance plus verte pour le pays, dans le cadre de la nouvelle stratégie de développement à moyen terme », a déclaré Abdelkrim Bendjebdour, représentant résident de la BAD à Mada­gascar, dans son allocution, lors l’ouverture de l’atelier d’hier. « L’économie verte », comme il l’a également nommé, est un modèle de développement supposé assurer « une croissance durable et inclusive », particulièrement pour les pays dotés de richesses naturelles exceptionnelles comme Madagascar. Suite…

Saisie record de bois de rose

La lutte contre le trafic de bois de rose de Madagascar semble payer quelques dividendes. La semaine dernière, plus de 500 tonnes de ce bois précieux ont été découvertes sur un bateau par la douane kenyane au port de Mombasa.
Les 4 400 rondins, issus des parcs nationaux de la Grande île, ont transité par Zanzibar avant d’être chargés sur un navire à destination de Hong-Kong.
La valeur de la cargaison est estimée à 12,8 millions de dollars par l’Environment Investigating Agency, une organisation internationale indépendante. Celle-ci base son évaluation sur le prix de revente du bois de rose en Chine, où il est transformé en meubles, qui avoisinerait les 25 000 dollars la tonne.
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Mardi dernier, le président malgache avait déjà révélé en conseil des ministres que 28 conteneurs de bois de rose avaient été saisis à Colombo, au Sri Lanka, lors d’une opération menée conjointement les jours précédents par la douane sri-lankaise et Interpol. Là aussi, le bateau était en partance pour Hong-Kong. Dans les deux cas, les noms des véritables propriétaires du chargement ont été soigneusement dissimulés. Suite…

Talata Volonondry : accès à l’eau potable

À 28 kilomètres au Nord-Est de la capitale, la commune rurale de Talata­volo­nondry n’a pas accès à l’eau potable. Elle ne dispose que de quelques infrastructures dont l’existence, pour la plupart, relève des actions humanitaires.
Au mois de mai, le village d’Ampirihina a inauguré sa borne fontaine, grâce au financement de la fondation Adsum et Karen Bartman. Une adduction d’eau potable qui suit celle d’Antsahalalina, un village environnant ayant bénéficié de la même œuvre, l’année dernière.
« Le financement a été utilisé pour l’extension des infrastructures existantes, notamment le réseau d’adduction d’eau potable à Antsahalalina, réalisée auparavant par l’ONG Madagascar Développement Fund (MDF) », stipule un communiqué de MDF qui assure la mise en œuvre du programme d’adduction d’eau dans la localité. Les villageois ont fourni le matériel nécessaire comme les gravillons, les briques, les moellons et le sable, et ils participent à la construction des canaux.
«On fera de notre mieux pour apporter notre soutien a un programme de ce genre qui nous est bénéfique. La marche de 5 km pour chercher de l’eau dans d’autres fokontany ou boire l’eau des rizières est désormais terminé», s’est réjoui Tity Rabemanantsoa, un habitant du fokontany d’Ampirihina. Le programme d’adduction d’eau se poursuivra dans d’autres localités.

Source : http://www.lexpressmada.com

Insécurité alimentaire dans le sud de Madagascar

Le Programme alimentaire mondial (PAM) a exprimé mardi son inquiétude concernant la situation alimentaire critique dans le sud et sud-ouest de Madagascar, où 28% des ménages dans les zones rurales souffriraient d’insécurité alimentaire.

« Le nombre de personnes menacées par la faim s’élève à quatre millions, après que des cyclones et une invasion de criquets ont endommagé les récoltes de l’année précédente», a indiqué une porte-parole du PAM, Elisabeth Byrs, lors d’une conférence de presse à Genève.

« Les communautés les plus vulnérables sont encore confrontées à des conditions défavorables, notamment la poursuite de l’invasion acridienne et la faiblesse des précipitations. Les perspectives en termes de récoltes sont particulièrement défavorables dans les zones touchées par les criquets », a ajouté Mme Byrs. Suite…

Cameroun : déficit de production du manioc

Le manioc est le tubercule le plus consommé et le plus produit au Cameroun. Et pourtant, paradoxalement, le manque de ce produit fait perdre des milliards de Francs cfa au pays, comme le montre cet article de http://237online.com :

Si les trois quarts de la population camerounaise consomment ce tubercule, l’industrie camerounaise, elle, est en quête de 60 millions de tonnes de manioc pour l’autonomie du secteur agroalimentaire.
manioc

Sa présence régulière dans les marchés camerounais pourrait cacher la forte demande de manioc en termes de volume de consommation au Cameroun. Certes, les statistiques rendues publiques par le ministre de l’Agriculture et du développement rural, indiquent que le Cameroun produit 19 millions de tonnes de manioc par an mais, la demande réelle en besoins de consommation domestique est évaluée à 50 millions de tonnes par an. Soit un déficit de 31 millions de tonnes par an. C’est que, la consommation directe (état brut, farine, tapioca etc. Ndlr) du manioc à l’échelle nationale concerne 75% de la population. Evaluée à 50 Fcfa le kilogramme à l’achat, cette denrée génère pas moins de 25 milliards Fcfa aux agriculteurs locaux. Pris sous cet angle, la consommation directe du manioc pourrait générer un peu plus de 60 milliards de Fcfa par an. Soit un manque à gagner de 35 milliards Fcfa en termes de contribution aux recettes commerciales domestiques. Suite…

L’huile lourde de Tsimiroro

La production et la vente d’huile lourde de Tsimiroro peuvent assurer 8 à 10% des recettes de la région sud-ouest de Madagascar et apporter des ressources non négligeables à la caisse de l’État, selon le ministre auprès de la Présidence en charge des Ressources stratégiques, Joeli Valérien Lalaharisaina, ce lundi 26 mai en marge de la rencontre organisée par la Banque africaine de développement (BAD) à Ankorondrano.

Des pourparlers sont engagés entre Madagascar Oil et la Jirama en vue de la transaction. 73 000 barils d’huile lourde seraient vendus à prix d’usine à la Jirama selon le ministre Joeli Lalaharisaina. Et bien que ce ne soit qu’un essai à partir du mois de juin prochain jusqu’au mois de novembre, on espère que la Jirama verra ses charges et ses dépenses bien allégées pour en faire profiter les ménages, a-t-on compris. En tout cas, le ministre des Ressources stratégiques note que des études sont encore en cours et se poursuivront pour évaluer techniquement et financièrement la rentabilité de l’huile lourde sur le marché – rentabilité par rapport aux produits importés en matière de consommation et de transport. L’usage de l’huile lourde ne nécessiterait pas de gros investissements pour les industries ni en matière d’équipements ni en matière d’outillages selon certaines sources.
Source : Tribune.com

Madagascar et le WWF pour la protection de la biodiversité

Un nouvel accord de partenariat a été signé jeudi entre l’Association Nationale Madagascar National Parks (MNP) et le Fonds International pour la nature à Madagascar et dans l’Océan Indien Occidental (WWF MWIOPO) pour les trois prochaines années, en faveur de la conservation des aires protégées et des zones périphériques situées au coeur des paysages prioritaires de WWF, jeudi.

   tortue      lemurien
Plus de 2 millions d’hectares de superficie sont couverts par cet accord, combinant les aires protégées et parcs nationaux gérés par MNP et six zones d’intervention prioritaires de WWF Madagascar, a-t-on indiqué lors de la conférence de presse.
Madagascar abrite 5% des espèces végétales et animales du monde, dont plus de 80% sont endémiques. Ce nouvel accord de MNP et WWF couvrent 85% des espèces de lémuriens en danger critique et 99% d’ espèces d’oiseaux endémiques, a-t-on précisé. Suite…

Thalassa à Mada

France 3 a diffusé le 9 mai dernier l’émission Thalassa sur Madagascar. Au programme :
– les lémuriens : le Prince d’Antréma et les Sifakas
– voyage sur la Côte Vanille
– Perle & la langouste
– dans le sillage des goélettes

Emission à revoir sur le site de TV5 Monde