La filière haricot, qui se trouve à la troisième place des cultures vivrières après le riz et le manioc à Madagascar, reste encore mal exploitée malgré sa forte potentialité à Madagascar.
De 140.000 tonnes par an au cours des années 60-80 à 36.000 tonnes en 1990, la production de haricot dans la Grande Ile a régressé d’une façon spectaculaire et la cause provient de la désorganisation de la production semencière, a indiqué le ministère malgache de l’Agriculture.
La régression de la production influe automatiquement sur l’exportation. En 1995, Madagascar a exporté 6.075 tonnes de haricot sec pour chuter de moitié en 2000 et à 730 tonnes seulement en 2009, a expliqué le ministère de tutelle. Suite …